vendredi 30 janvier 2009

Il manque Hulk sur mon blog

Récemment, un ami afghan, agriculteur de son état me faisait remarquer que sur mon blog, je ne laissais pas suffisamment ressortir mon côté "geek". Pour les personnes qui ne se prêtent guère à l'usage intensif de termes anglo-saxons, je rappellerai que le geek peut être défini comme une personne passionnée (à la limite de l'obsession ?) dans des domaines tels que les comics, les jeux vidéos ou de rôles, le cinéma (surtout s'il est fantastique) ou tout ce qui touche aux nouvelles technologies. On retrouve sous cette appellation le "jeune" mais également la personne supposée adulte et responsable qui s'étonne que vous ne compreniez pas qu'il en est à sa dixième lecture de l'œuvre complète de Tolkien où qu'il possède plus d'exemplaires du X-Men n°1 de Jim Lee que vous de sous-vêtements de rechange pour le mois.
Bon admettons, et bien que je déteste l'étiquetage systématique de quelque catégorie de personnes que ce soit, on peut, sans trop craindre pour son intégrité physique, me considérer comme un geek. Il est vrai que nombre de plaisirs auxquels je m'adonne sont mentionnés ci-dessus et que j'ai atteint un âge où il ne serait pas anormal que j'affiche une attitude plus mature dans mes loisirs selon certains bien-pensants de ma génération. Mais pour ce que j'en ai à foutre de leur avis ...
L'article de ce jour (je vais même oser dire "de cette semaine" vu le laps de temps entre deux articles mais en même temps je vous avais prévenu) mettra donc en avant cette geek attitude qui m'habite (ce n'est pas un gros mot) puisqu'on y parlera de cinéma et de super-héros. Soucieux de plaire au public et en particulier à mes fidèles abonné(e)s, je voulais écrire un article plus général, intéressant à la fois les garçons et les filles. J'espère y parvenir car je crains les représailles d'une amie qui me réclamait récemment un article pour savoir "quelle bio-nana elle était ?". Je pense qu'elle ne m'en voudra pas car je sais qu'elle a vu le film dont nous allons parler (même si elle s'est tirée lors de la baston finale). Je reconnais une fois de plus que l'introduction a été un peu longue (mon ex serait sans doute d'accord) mais j'aime prendre le temps de mettre les choses en place. Sans plus attendre, voici donc L'Incroyable Hulk.
Réalisé en 2008 par Louis Leterrier (un petit français !), le film succède au Hulk de Ang Lee sorti 5 ans plus tôt. Un film qui, loin d'être un ratage total, n'avait pas convaincu grand monde. Entre ceux qui le trouvaient trop vert, trop bondissant ou trop physiquement proche de David Douillet et les autres qui ne retrouvaient pas ce qu'ils connaissaient du Titan Vert, personne n'entama une danse de la joie à la sortie des salles. Il faut dire que certaines données n'avaient pas vraiment été prises en compte. Le public qui s'était déplacé au cinéma avait pour la plupart comme seule et unique référence du personnage, la série télévisée des années 80. Inutile de dire que les fans de la perruque de Lou Ferrigno et de sa teinture verte qui partait à la moindre goutte d'eau allaient au devant d'une déception. Quant aux lecteurs des aventures de Hulk dans les comics, plus d'un élément scénaristique allait leur défriser la permanente. Mais assez avec la version Ang Lee et passons à celle de Louis Leterrier (qui aurait mérité de travailler pour la Fox. Cherchez pas, y'a juste un jeu de mots approximatif et pas drôle).
Précisons-le d'entrée, L'Incroyable Hulk, bien qu'il le suive chronologiquement parlant, n'est pas une suite de Hulk. Il s'en démarque d'ailleurs dès le générique de début durant lequel sont redéfinies ses origines. Une expérience menée conjointement par le docteur Bruce Banner et l'armée. Banner sert de cobaye. L'expérience tourne mal, transformation monstrueuse et fuite dévastatrice des labos. Désormais Bruce Banner est un fugitif avec l'armée américaine à ses trousses et qui essaie de trouver un remède à ses métamorphoses. Ce qui est clair avec ce bref résumé, c'est que cette version du film reprend les idées directrices de la série télé : le fugitif et sa quête désespérée de la guérison. Une bonne initiative car au final L'Incroyable Hulk s'avère passionnant, bien plus que la version précédente en tout cas. Mais si les adeptes de la série y trouvent leur compte, les lecteurs de comics ne sont pas en reste car les références y abondent. Je ne les citerai pas toutes mais Mr Blue, l'Abomination, Jim Wilson, Samuel Sterns (futur Leader) ou l'allusion amusante au pantalon violet de Hulk sont autant de citations bien venues sans trop appuyer le trait. Nous pourrions étendre le jeu en relevant les signes hérités de la série telle qu'une apparition télé du regretté Bill Bixby, Lou Ferrigno en vigile, la machine à rayons gamma ou les yeux de Banner qui changent de couleur juste avant la métamorphose, gimmick devenu mythique. Mais la qualité du film ne se limite pas à tous ces clins d'oeil. Le scénario mêle habilement les scènes d'actions et les moments "d'accalmie" qui font que même si Hulk n'est pas présent à l'écran, le film ne perd jamais de son intérêt ni n'oublie de susciter l'émotion (les retrouvailles entre Bruce et Betty sont suffisamment émouvantes pour qu'on soit en droit de s'essuyer discrètement le coin de l'oeil. Cela dit je suis peut-être un peu trop fleur bleue par moment, vous verrez bien quand vous y serez).
Le casting est quant à lui impeccable. Edward Norton interprète un Bruce Banner tout en retenue et s'avère être un choix judicieux (en plus d'un co-scénariste), William Hurt est un général Ross qu'on aime détester, Tim Roth en Emil Blonsky casse littéralement la baraque et Liv Tyler est suffisamment adorable pour qu'on comprenne la frustration du personnage de Banner à un moment plus intime du film. Quant au Hulk de synthèse, moins vert pomme et plus nerveux que son aîné, il est redoutablement efficace même si j'imagine qu'il y aura toujours un grincheux qui criera au manque de réalisme à propos d'un personnage qui de toute façon ne peut physiquement exister. Les scènes où le colosse entre en action sont mémorables (l'affrontement sur le campus, la colère face à l'orage) et raviront ceux qui ont été déçus par les bastons mollassonnes aperçues au détour d'un Fantastic Four et le Surfeur d'Argent.
C'est donc sans retenue que je vous conseille ce film qui prouve que Marvel a bien fait de ne plus brader ses licences comme la firme a pu le faire par le passé et de décider de produire ses adaptations de comics. Mine de rien, et par l'entremise de leur maison de production, le géant des comics américain est en train de bâtir progressivement un univers cohérent au cinéma comme cela a été fait dans les bandes dessinées. Et avec des réussites comme Iron Man ou ce Hulk de très bon cru, on est en droit d'attendre la suite (Captain America, Thor, Avengers) avec la bave au lèvres. Si ça, ce n'est pas une conclusion de geek ...

lundi 19 janvier 2009

Viande avariée

Les années couvrant mon enfance et mon adolescence furent une période de frustrations occasionnelles pour l'amoureux du cinéma que je suis, non pas que la production de l'époque n'était pas à la hauteur, bien au contraire, mais parce que le risque de ne pas voir un film avant de longues années était monnaie courante. J'habitais en province (Reims très précisément), et contrairement à la capitale, toutes les villes de France ne connaissaient pas la même richesse de distribution cinématographique sans avoir toutefois à se plaindre. Mais comme dirait Aznavour, je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître et avant, donc, vous pouviez avoir envie de voir un film et que l'occasion ne se présente pas dans l'immédiat. La télévision ne proposait que trois chaînes qui ne diffusaient pas des films tous les soirs et de toute façon, je ne pouvais alors visionner que celui du mardi car le lendemain il n'y avait pas école. Les rediffusions incessantes n'étaient pas encore à la mode comme aujourd'hui et les magnétoscopes n'avaient pas encore fait leur apparition dans les foyers. De plus, un film manqué lors de sa sortie cinéma ne risquait pas de passer à la télé tout de suite. Aujourd'hui les choses ont bien changé et pour ne pas être en mesure de voir un film qu'on espère, il faut à la limite le faire exprès car après l'avènement des enregistreurs de tous poils, des chaînes multiples et surtout d'Internet, plus rien ne saurait nous échapper très longtemps cinématographiquement parlant, de la pire des séries Z aux grands classiques du temps jadis. Pour ceux d'entre vous que je n'aurais pas endormis en route, j'arrive doucement au sujet de ce jour. Il nous est tous arrivé d'avoir une furieuse envie de visionner un long métrage ne serait-ce qu'en raison de sa réputation, de son sujet ou de l'équipe présente sur l'affaire ou tout simplement parce qu'on sent qu'on va bien se marrer. C'est ce qui m'est arrivé avec le film dont je vais vous parler aujourd'hui : Hamburger Film Sandwich.

Réalisé en 1977, Hamburger Film Sandwich (dont le titre original est Kentucky Fried Movie mais le sandwich au bœuf devait être plus connu en France à cette époque) est en fait un enchaînement de sketchs sans aucun lien entre eux. Mis en scène par John Landis (de bonnes choses comme Le loup-garou de Londres ou Un fauteuil pour deux mais aussi quelques purges comme Le flic de Beverly Hills 3) et scénarisé par les ZAZ (Jerry Zucker, Jim Abrahams et David Zucker, le trio responsable de l'hilarant Y-a-t-il un pilote dans l'avion, Top secret ou encore les Y-a-t-il un flic ...) a de quoi faire saliver l'adepte de comédie non-sensique flirtant parfois avec le dessous de la ceinture qu'il m'arrive parfois d'être, avouons-le franchement.
C'est donc plein d'espoir que je me loue le film en VOD, un paquet de chips et une bouteille de Coke (tant pis pour la pub) à portée de main (mais surtout de bouche).
Dire que ma déception est grande serait un euphémisme. Outre le fait que l'humour peut paraître un peu daté (mais peu importe l'âge du film, après tout Y-a-t-il un pilote ... date de 1980 et est toujours aussi drôle presque 30 ans plus tard) il n'est pas plus drôle qu'une mauvaise saison de Benny Hill. Le film est en fait une succession de parodies : fausses pubs, faux journaux télévisés, fausses bandes-annonces et faux film puisque le plus long (trop long ?) sketch dure une demi-heure et pastiche Opération Dragon.

Replaçons cependant les choses dans leur contexte (époque et lieu) car certains gags ne pourraient être appréciés que dans ce cas quand il s'agit par exemple de vannes visant des produits purement américains. A ce propos, il vaut mieux éviter la version française car celle-ci regorge d'adaptations stupides destinées à ne pas dépayser le spectateur français de la fin des années 70. C'est ainsi qu'on a droit à un personnage qui se voit menacé d'être expédié à Etretat ou à un autre à qui on demande de chanter J'irai revoir ma Normandie alors que le but est qu'il puisse retourner au Kansas (allusion au Magicien d'Oz), une pratique bien de chez nous qui consistait à prendre le spectateur pour un con en estimant qu'il n'y verrait que du feu si on lui glissait des références françaises dans un contexte qu'il savait parfaitement américain. Mais revenons à nos sketchs. L'ensemble, comme beaucoup de films à segments, est inégal et on peine parfois à esquisser un sourire. Certains passages sont relativement drôles (généralement ceux qui sont le plus de mauvais goût et le plus politiquement incorrects) comme Le front unifié des décédés où une association milite pour le droit à garder le cadavre de ses chers disparus, L'oxyde de zinc et vous qui propose de voir comment serait la vie sans ce composé chimique ou encore quelques scènes de Pour une poignée de yens, la très longue parodie de Bruce Lee. Les zygomatiques resteront toutefois relâchés pour la plupart des autres sketches même si on tente désespérément de se mettre dans la peau du spectateur de l'époque, tâche pour le moins impossible.
Le film a toutefois rapporté gros pour une mise de départ relativement modeste et a semble-t-il influencé beaucoup de comiques, notament français comme Les Nuls (le générique de début et de fin de Hamburger Film Sandwich n'est autre que la Carioca, utilisée par Alain Chabat dans La cité de la peur) ou les Inconnus qui apparemment se sont largement servis de l'idée du segment Danger Seekers. La question qui me taraude est : aurais-je trouvé ce film drôle si je l'avais vu à sa sortie ? (surtout quand je réalise le nombre de films qui m'ont fait me tordre de rire jadis et que je trouve aussi drôles qu'une crise d'hémorroïdes aujourd'hui). Je ne le saurai jamais et la question ne devrait d'ailleurs pas se poser pour apprécier un film. Ce qui compte c'est mon impression de ce soir et les 2,99€ lâchés pour la VOD. Finalement, quand on parvient à mettre la main sur un "trésor" convoité depuis longtemps, il vaut peut-être mieux adopter la réaction d'Indiana Jones à la fin du premier film quand les nazis ouvrent l'arche d'alliance : ne pas regarder sous peine de se liquéfier. Maintenant, vous faites ce que vous voulez mais vous ne direz pas que vous n'avez pas été prévenus.

jeudi 15 janvier 2009

Allez, lisez ! (proverbe présidentiel)

Allez, on va changer de registre pour parler un peu littérature. Comme en ce moment, je peux tenter de rattraper le retard que j’ai accumulé dans mes lectures, j’essaie de ne pas me priver. L’auteur qui m’occupe en ce moment est un monument de la littérature fantastique pour ne pas dire de la littérature tout court. Il s’agit de Richard Matheson.


Ce nom vous est peut-être inconnu mais il officie depuis les années 50 et même si vous n’avez lu aucun livre de l’auteur il vous est peut-être arrivé de regarder une œuvre télévisée dont il était le scénariste ou l’un de ses écrits adaptés au cinéma. En effet, Richard Matheson a beaucoup écrit pour La quatrième dimension (The twilight zone) et quelques films comme L’homme qui rétrécit, Duel ou Je suis une légende proviennent de ces romans ou nouvelles. Ces récits, pour la plupart ancrés dans un quotidien qui ressemble au nôtre, dérivent pour la plupart vers le fantastique, l’étrange, l’inexpliqué. On retrouve ce genre d’ambiance chez un auteur comme Stephen King qui n’a jamais caché l’influence de Matheson.


Je lis actuellement un recueil de nouvelles, intitulé Miroir, Miroir où l’on retrouve parfaitement l’incursion de la terreur dans le quotidien des protagonistes propre à l’écrivain. Un recueil que je vous conseille donc sans retenue comme n’importe lequel des romans de Matheson (cela dit, je ne les ai pas encore tous lus). Pour bien débuter votre incursion dans le domaine, je ne saurais trop vous conseiller de vous jeter sur l’intégrale des nouvelles de Matheson publiée en 5 volumes chez Imagine Flammarion. Les titres sont les suivants :


1 - Derrière l’écran

2 - Intrusion

3 - La poupée à tout faire

4 - Le pays de l’ombre

5 - La touche finale



Bon, je sais. Vous vous dites « il est marrant avec ses conseils, mais on va quand même pas tout acheter non plus ! ». Certes, j’entends bien. Mais, si je vous connais (il y a des chances si vous êtes sur ce blog), si vous êtes sages (à vérifier) et si vous êtes propres (condition irrévocable pour lire un de mes livres, maniaque que je suis), je peux toujours vous les prêter. Voilà, à vous de jouer maintenant. Vous devriez déjà être en train de lire.

mercredi 14 janvier 2009

Sur un plateau

Je ne possède une connexion Internet que depuis quelques semaines et force est de constater que c'est un monde nouveau qui s'ouvre à moi. Je suis conscient que ça fait un peu l'arriéré qui découvre les nouvelles technologies mais peu importe. Du coup, je surfe un peu à tout va jusqu'à en avoir les yeux comme des boules de loto. Je commande et me fait livrer à domicile un peu tout et n'importe quoi et peux assouvir la moindre de mes passions comme le cinéma ou la bande dessinée, j'en passe et des moins avouables peut-être. Tout cela pour dire que je me sens possédé par un sentiment de toute puissance. Eh oui, je peux faire ce que je veux depuis ma chambre en quelques clics seulement (je parle toujours d'Internet bien évidemment) ! Et c'est de cette façon que, le pauvre misérable que je suis qui ne s'éclairait jusqu'alors qu'à la lampe à pétrole, a découvert la location de vidéos à la demande (VOD) et c'est ce soir que j'ai décidé de tester le produit. En fait, cette petite introduction qui en a peut-être fait bailler plus d'un n'était qu'une entrée en matière pour vous annoncer que j'allais vous parler des films que je regarde en ce moment et vous inciter, ou pas, à vous jeter dessus séance tenante. C'est donc parti !
Dans la série "La séance du Padre", voilà mon film de la soirée :

The Return (2007) : un film de Asif Kapadia avec Sarah Michelle Gellar, Sam Shepard et Peter O'Brien

Le sujet : Depuis qu'elle est petite fille et après un accident de voiture dont elle et son père furent victimes, Joanna a des visions. Des visions d'un homme qui tente de l'approcher et dont les intentions ne semblent pas amicales.
Les années passent. Joanna est une femme qui a réussi sa vie professionnelle dans une importante société de transport. Mais ces visions ne l'ont pas quittée et celles-ci se font de plus en plus inquiétantes. Elle profite d'un voyage d'affaires au Texas pour tenter de comprendre ce qui fait de sa vie un cauchemar éveillé.

Je ne vous en dis pas plus au risque de trop en révéler. Toujours est-il que le film est plutôt réussi et distille quelques moments d'angoisse prompts à faire sursauter et monter le taux d'adrénaline (essentiellement lors des scènes de visions). Le début du récit est voilé de mystères et d'interrogations qui, sans vous en révéler le contenu, trouveront une explication à la fin du métrage. Sarah Michelle Gellar prouve une fois de plus, pour ceux qui en doutaient, qu'elle est une actrice convaincante et crédible qui peut porter le poids d'un film sur ses frêles épaules. Mais les fans de Buffy (j'en suis) le savaient déjà. Pour les âmes sensibles, je tenais à préciser qu'il ne s'agit pas d'un film d'horreur comme pourrait le laisser supposer l'affiche. Ici, point d'adolescents massacrés à la chaîne ni d'hémoglobine coulant à flots, mais une femme en proie à des démons qu'elle ne comprend pas. Prenez-le pour ce que ça vaut mais ce film est un conseil estampillé "Le Padre". Ce ne sera peut-être pas le cas pour les suivants. Bonne séance.

A new Kid in town

Bonjour à tous,
Jusqu'à présent, je n'avais jamais vu l'utilité de créer un blog. Ce n'est pas que je la vois beaucoup plus aujourd'hui mais comme je dispose de pas mal de temps suite à un stupide accident de sport, je me retrouve cloué chez moi à parler aux murs. Je me suis donc dit que ça ne serait peut-être pas une mauvaise idée de discuter sur le Web quitte à vous parler de mes passions ou vous faire part de mes coups de gueule. Si jamais ça intéresse quelqu'un ...
Donc voilà, je mets les choses en place petit à petit et on verra bien le temps que ça durera (il m'arrive d'être d'une paresse incroyable donc les messages ne seront pas forcément d'une régularité forcenée). Tous ceux qui souhaitent venir passer un peu de temps par ici sont les bienvenus.
A bientôt,

Le Padre.